Bonjour Maman, bonjour Papa.
Je regarde les photos que j’ai envie de publier dans cet article, et je n’arrive pas à trouver des mots pour les accompagner.
(Spoiler : dans les prochaines lignes, vous aurez le droit à une envolée lyrique d'une originalité et d'une beauté sans pareil)
Pendant deux jours, mon regard est resté tourné vers ces immenses chutes d’eau, mon esprit plein de ce bruit sourd des volumes d’eau qui s’écoulent ; ma bouche, bien qu’entre-ouverte, ne laissant pas s’échapper un mot.
J’ai passé deux jours au milieu d’une foule de touristes, sans même les remarquer.
Des coups de soleil ont bruni mes joues et mes épaules, je ne m’en suis pas aperçue.
Une horde de bestioles chapardeuses m’est grimpée dessus pour me voler mon sandwich et… si, ça je m’en suis rendue compte.
Je n’ai pas pris en photo ma propre agression, mais vous pouvez observer ci-dessus une horde de quatis, dont la stratégie est simple : avoir le poil doux, s’approcher et faire mine de réclamer des caresses, puis s’emparer d’un sac et se sauver avec.
Sur les 235 photos prises en deux jours, une bonne moitié a les quatis pour stars. Les grandes pancartes « Ne nourrissez pas les quatis ! », illustrées de mains ensanglantées, ne suffisent pas à décourager les touristes : ils sont trop mignons, on veut les toucher, et on se fait avoir.
Enfin, les quatis restent plus sympathiques que ce charmant animal rencontré dans le parc :
La principale attraction reste les cataratas. Comme j’ai peu de mots, voici les images.
Côté brésilien :
On y voit les chutes de plus loin. Beaucoup trouvent ce côté moins impressionnant que le côté argentin (qui passe au plus près des chutes), mais il permet d’avoir une vue plus globale, d’apprécier l’immensité des cataratas et leur puissance
[Article trop lourd, over-blog trop lent, suite dans un prochain article !]